Un hommage à Jean Marie Le Floch de Kereonnec une des 14 victimes lors de la catastrophe du Farfadet

Début juillet 1905, le sous-marin le Farfadet coule lors d’un exercice, voici des extraits de journaux relatant cette catastrophe.

Le sous-marin français Farfadet a coulé à Ferryville, près de Bizerte. Le commandant et deux hommes ont été projetés en l’air au moment de l’accident. Le sous-marin n’est pas encore renfloué, mais on a pu sauver le second et les douze hommes qui étaient restés à l’intérieur. La première enquête a démontré que l’accident avait été provoqué par une porte imparfaitement fermé.

Le Finistère du samedi 8 juillet 1905

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Le sous-marin « Farfadet »

On télégraphie de Bizerte que, contrairement aux nouvelles envoyées hier, l’équipage du sous-marin Farfadet n’est point sauvé . On a réussi à soulever le petit navire pour renouveller sa provision d’air ; mais, la grue ayant cédé, le sous-marin est retombé. On craint que l’équipage ait succombé. Les travaux continuent.

Le Finistère du samedi 8 juillet 1905

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Le sous-marin Farfadet n’a pas encore pu être renfloué. La perte des treize hommes qui étaient restés à l’intérieur est donc certaine. Le ministre de la marine est sur les lieux.

Le Finistère du mercredi 12 juillet 1905

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La catastrophe du Farfadet

Jeudi matin, à 8 heures, le sous-marin Farfadet était en marche à 400 mètres à droite de l’arsenal quand son commandant, le lieutenant de vaisseau Ratier, donna l’ordre de plonger.

Pendant la manœuvre, le panneau avant refusa de se fermer et l’eau pénétrant chassa l’air de cette partie du bateau. Le sous-marin coula immédiatement.

Le commandant et le mécanicien furent comme expulsés au dehors. Un quartier-maître réussit à se glisser hors du sous-marin. Le reste de l’équipage, soit quatorze hommes, y restèrent enfermés. Quelques-uns d’entre eux furent noyés immédiatement ; les autres se réfugièrent dans l’extrémité arrière du bateau, car aux premiers appels faits par les scaphandriers, il fut répondu qu’il y avait encore six survivants à l’intérieur du sous-marin et un ou deux à l’avant.

Les essais faits pendant toute la journée de jeudi pour renflouer le Farfadet demeurèrent sans résultat. L’amiral Aubert qui présidait à ces travaux espérait parvenir à soulever le bateau hors de l’eau dans l’après-midi de vendredi. Les hommes de l’intérieur ayant fait savoir que l’air allait leur manquer, l’amiral donna l’ordre de soulever l’arrière du bateau afin de leur donner de l’air par le panneau arrière. L’arrière fut sorti de l’eau, on put par un hublot renouveler l’air. Le panneau, but des efforts, n’était plus qu’à un mètre lorsque la grue s’abattit, et le sous-marin, retombé, l’avant enfoncé dans la vase.

Une seconde tentative échoua. Les constructions navales de Bizerte ont préparé aussitôt un grand dock flottant destiné au soulèvement du sous-marin.

M. Thomson, ministre de la marine s’est rendu lui-même à Bizerte pour assister au renflouement.

Aussitôt arrivé à Bizerte, le ministre s’est rendu sur le lieu de l’accident, où il s’est fait raconter par le lieutenant de vaisseau Ratier, commandant du Farfadet, toutes les péripéties de l’accident. Il s’est ensuite transporté sur le sous-marin Korrigan, qui a fait une plongée de trois quarts d’heure autour des bâtiments employés au sauvetage.

Les travaux du passage du câble sous le Farfadet continuent avec difficultés : le sous-marin, qui est toujours dans la même situation et enfoncé de plus en plus, pourra peut-être être renfloué aujourd’hui.

L’union Agricole du mercredi 12 juillet 1905

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Le « Farfadet »

On télégraphie de Bizerte que les travaux de renflouement du Farfadet avancent, mais qu’ils pourront encore durer plusieurs jours. M. Thomson est reparti pour Paris.

Le Finistère du mercredi 12 juillet 1905

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Les opérations du renflouement du sous-marin Farfadet ont enfin abouti. Le petit navire a été soulevé à l’aide d’un dock de 350 tonnes, et remorqué jusqu’au bassin.

Le Finistère du samedi 15 juillet 1905

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Séance du Sénat du mardi 11 juillet

L’amiral de Cuverville demande au Sénat d’adresser aux familles des victimes du Farfadet l’expression de sa sympathie.

M. Rouvier s’associe à cette proposition.

Le Finistère du samedi 15 juillet 1905

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Séance du Sénat du mardi 11 juillet

M. de Cuverville propose au Sénat d’adresser aux victimes du naufrage du Farfadet l’expression de sa sympathie.

M. Rouvier, au nom du gouvernement, s’associe aux paroles de M. de Cuverville et tient à assurer le Sénat que le gouvernement fera tout son devoir à l’égard des familles des malheureux marins.

M. Fallières, président du sénat, s’associe à ces paroles et adresse au nom du Sénat, ses douloureuses sympathies aux familles des victimes. (Applaudissement).

L’union Agricole du vendredi 14 juillet 1905

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Le « Farfadet »

Le malheureux sous-marin Farfadet est toujours enlisé et malgré les efforts incessants tentés pour le renflouer il s’enfonce de plus en plus profondément dans la vase.

On espère cependant le remorquer aujourd’hui jusqu’au bassin.

L’union Agricole du vendredi 14 juillet 1905

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Le « Farfadet »

On télégraphie de Ferryville que la dépêche annonçant le sauvetage du Farfadet était prématurée ; la tentative pour soulever se poursuit seulement dans de bonnes conditions.

Le Finistère du samedi 15 juillet 1905

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La catastrophe du « Farfadet »

Vendredi soir, vers 7 heures, le Farfadet s’est trouvé suffisamment soulevé par le dock pour pouvoir être remorqué dans le bassin de Sidi Abdallah.

Ce n’est que dimanche que l’on a pu commencer à sortir les cadavres du sous-marin.

Les obsèques ont eu lieu, aujourd’hui mardi, à 10 heures du matin, dans l’arsenal de Sidi-Abd-Ilh.

Le nombre des couronnes envoyées dépassait 200.

Les corps ont été déposés au dépositoire du cimetière de Bizerte en attendant leur transfert en France.

Sur les 14 victimes, huit dont voici les noms, sont originaires de Bretagne : le lieutenant de vaisseau Robin, né à Brest ; les quartiers-maîtres torpilleurs Le Sausse, né au Crach (Morbihan) ; Roland, né à Treguier (C.-d.-N.) ; Simon, né à Saint-Brieuc ; Hénaff, né à Lambézellec ; le matelot-torpilleur Arzel, né à Locmaria-Plouzané ; les quartiers-maîtres mécaniciens Bougeard, né à Gulchen (Ill.-et-V.) ; Le Floch, né à Saint-Yvi.

Sur l’acte mortuaire de ces malheureux, il faudra rappeler les deux jours de souffrances et de luttes entre la vie et la mort et l’on mettra simplement ces mots : « décédés en sous-marin, rade de Bizerte, les 6 et 7 juillet 1905. »

Comme marque de sympathie à l’égard des malheureuses victimes de cet accident l’escadre anglaise a versé dimanche la somme de 2.500 fr. à la souscription ouverte par notre confrère La Dépêche de Brest en faveur des familles.

L’Union Agricole du 16 et 19 juillet 1905

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Les cadavres des quatorze victimes de la catastrophe du sous-marin le Farfadet ont enfin pu être extraits du petit navire, qui a été soulevé et remorqué dans un bassin. Il a fallu vingt heures d’efforts pour les retirer et les ingénieurs ont cru, un moment, être obligés, pour mener l’opération à bien, de percer la coque du navire. Celui-ci n’a pas d’avaries.

Le Finistère du mercredi 19 juillet 1905

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Les obsèques des victimes de la catastrophe du Farfadet ont eu lieu, à Sidi-Abdallah, au milieu d’une grande affluence. Les amiraux Fournier et Aubert, le général Roux et M. Pichon ont pris la parole et exalté l’héroïsme des marins. Les corps des victimes ont été ramenés en France.

Le Finistère du samedi 22 juillet 1905

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Le Farfadet, remis partiellement en état, sera renvoyé sous convoi à Toulon pour être complètement réparé. Le ministre de la marine vient de nommer au grade supérieur toutes les victimes du sous-marin, afin d’augmenter le chiffre des pensions qui seront accordées à leurs familles. Il fut ainsi fait pour les victimes de la Vienne.

Les survivants du Farfadet ont obtenu un congé de trois mois, sauf le commandant qui est obligé de rester momentanément pour comparaître à l’enquête.

Le Finistère du mercredi du 26 juillet 1905

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Héros bretons — Les victimes du « Farfadet ».

Parmi les noms des matelots morts héroïquement à bord du sous-marin Farfadet, nous relevons les suivants qui sont ceux de bretons du Finistère : Hénaff (Jules-Joseph-Marie), 2é maître-torpilleur, à Lambézellec ; Le Floch (Jean-Marie), 2é maître-mécanicien, à Brest ; Arzel (Jean-René), quartier-maître torpilleur, à Locmaria-Plouzané.

Les corps de ces braves ont été embarqués à Bizerte, sur le paquebot Ville de naples, et sont arrivés hier matin à Marseille où des obsèques grandioses leur ont été faites ; M. Thomson, ministre de la marine, leur a adressé un dernier adieu.

M. Thomson a en outre télégraphié les instructions suivantes au préfet maritime de Brest :

L’autorité militaire se chargera du transport au lieu précis d’inhumation indiqué par les familles ; ce transport aura lieu aux frais de l’État.

Sur ma demande expresse, M. le ministre de la guerre a bien voulu, par dérogation aux prescriptions de l’article 334 du décret sur les service des places, décider que les honneurs militaires seraient de nouveau rendus au lieu d’inhumation.

En conséquence, toutes les dispositions dans ce sens seront prises à l’égard du 2é maître torpilleur Le Floch, qui sera inhumé à Brest.

Le corps du 2é maître-torpilleur Hénaff sera transporté à Lambézellec, et celui du quartier-maître torpilleur Arzel à Locmaria-Plouzané.

Vous désignerez un officier de marine pour me représenter personnellement à la cérémonie à Brest. Le ministre de la guerre donnera les instructions nécessaires pour que les honneurs militaires soient rendus par la garnison.

Je vous autorise à envoyer à lambézellec une délégation de marins sans armes.

Les familles seront prévenues de la date de départ des corps de Marseille par les soins du général commandant le 15è corps d’armée.

Le Finistère du samedi 29 juillet 1905

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Les victimes du « Farfadet »

— Les corps des trois marins du farfadet, qui étaient originaires du Finistère, sont arrivés hier soir à Brest.

Leurs obsèques solennelles auront lieu demain.

Le Finistère du 3 août 1905

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Victimes du devoir. — Voici en quels termes éloquents et émus M. Thomson, ministre de la marine, a adressé le dernier adieu aux marins du Farfadet, victimes du devoir :

« Messieurs, lorsqu’à l’annonce du terrible accident survenu au Farfadet, je partis, dans la soirée, pour Bizerte, j’avais le cœur bien angoissé. Mais rien alors ne paraissait perdu.

On pouvait encore conserver l’espoir qu’une si lamentable catastrophe nous serait épargnée et il m’était doux de penser que j’apprendrais, en arrivant, l’heureuse nouvelle, si anxieusement attendue, que l’œuvre du salut serait achevée et que j’aurais la joie d’associer dans les mêmes paroles de félicitations et de réconfort les naufragés et les sauveteurs, ceux qui avaient lutté si héroïquement dans leur tombe de fer et ceux qui, du dehors, avaient multiplié, pour eux, les prodiges d’énergie, d’endurance et de dévouement.

Je comptais pouvoir exprimer, aux uns comme aux autres, nos sentiments de patriotique admiration. La destinée, si obstinément implacable dans cette lugubre tragédie, ne l’a pas voulu.

Et je renouvelle aux héroïques victimes du Farfadet, à ces intrépides marins tombés sur leur champ de bataille quotidien, le salut respectueux et attendri de la France, qu’ils ont bien servie, et pour laquelle ils sont morts.

« Ce n’est pas le lieu ni le moment d’indiquer ce qu’il faudra faire pour tenter d’empêcher, dans la mesure des prévisions humaines, le retour de semblables catastrophes. Ce qu’il faudra faire, on le fera.

Et puisqu’il semble, hélas ! que le progrès, à chaque pas en avant, veuille toujours quelque rançon, le drame de Bizerte restera, du moins, comme un terrible enseignement. Les nobles existences, si prématurément et si affreusement fauchées, sauveront peut-être d’autres existences.

La mort, l’horrible mort des marins du Farfadet, ne sera pas oubliée, pas plus que ne seront oubliés les êtres chers que les disparus laissent après eux.

À ceux-là aussi, j’adresse une pensée humaine. Ceux qui pleurent sont pleurés et honorés par le pays tout entier. Et au moment où leur dépouille glorieuse touche à ces rives de la mère-patrie, d’où ils étaient partis pleins de jeunesse et d’entrain, dans la belle confiance de leur métier aventureux, au moment où la terre natale va pour jamais les recueillir, je sens venir à mon esprit les vers sublimes dont le plus grand de nos poètes salua si magnifiquement les morts tombés pour la patrie :

Entre les plus beaux noms, leur nom est le plus beau ;
Toute gloire, auprès d’eux, passe et tombe éphémère,
Et comme ferait une mère,
La voix d’un peuple entier les berce en leur tombeau.

Le Finistère du mercredi 2 août 1905

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Obsèques des victimes du « Farfadet »

— Les obsèques des deux marins, Le Hénaff et Le Floch, morts à bord du Farfadet, ont eu lieu jeudi, au milieu d’une affluence considérable.

Les honneurs militaires étaient rendus par des détachements de toutes les troupes en garnison à Brest. Parmi les assistants on remarquait MM. Le vice-amiral Pephau, préfet maritime, et son officier d’ordonnance ; Ménard, secrétaire général de la préfecture, représentant le ministre de l’intérieur et M. Collignon ; les généraux Lachouque et Gonard ; un grand nombre d’officiers supérieurs.

Puis venaient des délégations de toutes les sociétés patriotiques. Un nombre considérable de couronnes étaient portées à bras. Les cercueils étaient recouverts d’un drapeau tricolore.

Le service funèbre a été fait à l’église Saint-Martin ; au cimetière, M. Le vice-amiral Pephau a adressé un dernier salut aux deux marins victimes du devoir ; M. Ménard, au nom du ministre de l’intérieur et de M. Colignon, a associé la France civile à l’hommage rendu à ces braves ; M. Aubert , maire de Brest, et M. Le Treusse, président de l’assocoation des anciens soldats et marins, ont adressé un dernier adieu aux deux victimes du Farfadet.

Le Finistère du 5 août 1905

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— Le lieutenant de vaisseau Ratier, commandant du Farfadet, a été acquitté par le conseil d’enquête chargé de le juger.

Le Finistère du samedi 12 août 1905

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Les sous-marins aux États-Unis

On annonce de Washington, que, vu le désastre récemment arrivé au sous-marin français Farfadet, le ministre de la marine des États Unis vient de publier un nouveau règlement concernant les manœuvres des sous marins ayant à bord un équipage inexpérimenté.

Dorénavant, ces sous-marins devront seulement manœuvrer dans des parages ayant une profondeur de moins de quinze mètres. Ils devront, de plus être pourvus extérieurement d’anneaux, dits de sauvetage, et être accompagnés d’un navire muni de l’outillage nécessaire pour, en cas d’accident, ramener le sous marin à la surface en passant des chaînes dans les anneaux fixés à la coque du bateau.

L’union Agricole du dimanche 20 août 2025

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ARMÉE ET MARINE

A propos du « Farfadet »

Nous recevons la très intéressante lettre suivante d’un de nos concitoyens, nouvellement installé à Quimperlé, et que nous nous empressons de publier :

Monsieur le Directeur du journal l’Union Agricole, Quimperlé.

Le 19 juillet dernier, à propos du si tragique accident du Farfadet, j’écrivais à M. le Ministre de la Marine pour lui soumettre quelques améliorations dont je crois susceptibles les sous-marins en particulier et tous les bâtiments de faible tonnage en général.

Je précisais entre autres idées celles d’adapter à l’extérieur de la coque des anneaux ou des crochets et de ménager dans celle-ci des ouvertures, particulièrement des trous d’homme doublé, à fermeture appropriée pouvant se manœuvrer de l’intérieur et de l’extérieur.

Les anneaux ou crochets permettraient de fixer des chaînes et de renflouer plus facilement et plus rapidement un bâtiment immobilisé en mauvaise position pour une cause quelconque ; les ouvertures, au moyen d’un manchon imperméable qu’on pourrait y adapter permettraient, suivant leur dimension et si le bâtiment est accompagné, soit de renouveler la provision d’air et de nourriture, soit au moyen d’un va-et-vient, avec une corde munie d’une ceinture, de sauver l’une après l’autre toutes les personnes à bord d’un bateau submergé ; si le bâtiment est isolé, l’équipage pourrait, au pis aller, sortir sans aide de sa prison.

Une idée peu d’ailleurs en engendrer une autre et ce que l’un a pensé un autre peut le penser ; des personnes avec qui j’en causais ont fait spontanément les mêmes réflexions.

Mes idées ont surtout l’avantage d’être d’une application très facile et peu coûteuse et si elles n’ont qu’une valeur relative au point de vue pécuniaire, elles peuvent être inappréciables pour la sauvegarde des nombreux marins qui, avec une si grande abnégation, exposent journellement leur vie au service de la patrie.

A ce titre seul il eut été très flatteur pour un français de pouvoir s’en attribuer la priorité ; ma lettre est cependant restée sans réponse, et cette priorité, au moins pour une des idées émises, est aujourd’hui contestable puisque divers journaux, dont l’Union Agricole, publient sous la rubrique de Washington 18 août, que, vu le désastre arrivé récemment au sous-marin français Farfadet, le ministre de la marine des États-Unis vient de publier un nouveau règlement concernant les manœuvres des sous-marins qui devront de plus être munis extérieurement d’anneaux dits de sauvetage, pouvant recevoir des chaînes et permettre de ramener en cas d’accident, le sous-marin à la surface.

Je ne veux pas apprécier jusqu’à plus ample informé, et vous prie, Monsieur le Directeur, de croire à mes plus respectueux et sincères sentiments.

J Les B.

L’union Agricole du vendredi 25 août 2025

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Un comité vient de se former à Bordeaux pour élever à Bizerte un monument aux victimes du Farfadet.

Le Finistère du 2 septembre 1905

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